MESURE D'ORDRE - TRAVAIL
Le plaignant ne conteste pas les absences au travail qui lui sont reprochées mais explique que le 24 février 2021, il avait rendez-vous chez le dentiste le matin et que l’après-midi, il était en retard de quelques minutes pour le départ au jardin (car c’était le jour des frites). Quant à son absence du 1er mars 2021, les explications du plaignant manquent de clarté : il conteste avoir dit qu’il était en manque de sommeil et l’agent lui aurait dit qu’il n’avait pas besoin de descendre car il ne savait pas se lever. La Commission des plaintes estime que, bien que le plaignant avait rendez-vous chez le dentiste le matin du 24 février 2021, ses explications ne sont pas suffisantes pour justifier son absence l’après-midi. Il reconnait lui-même qu’il était en retard pour le départ vers le jardin. Quant à son absence du 1er mars, le plaignant n’a pas non plus fourni d’explications suffisantes pour justifier le fait qu’il ne s’était pas rendu au travail. Enfin, quant à la journée du 25 février 2021, la Commission constate que l’agent du jardin a suffisamment justifié le manque de productivité du plaignant ce jour-là, en comparaison avec le travail des autres détenus.
Au vu des éléments qui précèdent, la Commission des plaintes estime que la décision contestée par le plaignant est suffisamment motivée et justifiée. La légalité de cette décision n’est pas remise en cause. Cette décision est par ailleurs prise conformément à la « Convention de mise au travail à la prison de St Hubert » signée par le plaignant le 25 février 2021 et produite par la direction, dans laquelle il est stipulé que le manque de productivité, la mauvaise qualité du travail et/ou les malfaçons peuvent entrainer le retrait d’emploi. En outre, le plaignant a lui-même indiqué durant l’audience qu’il ne souhaitait pas réintégrer cet emploi. Enfin, le plaignant peut faire une demande pour un autre emploi, il a d’ailleurs indiqué durant l’audience qu’il avait un rendez-vous fixé à cet égard au sein de l’établissement.
Le plaignant ne conteste pas les absences au travail qui lui sont reprochées mais explique que le 24 février 2021, il avait rendez-vous chez le dentiste le matin et que l’après-midi, il était en retard de quelques minutes pour le départ au jardin (car c’était le jour des frites). Quant à son absence du 1er mars 2021, les explications du plaignant manquent de clarté : il conteste avoir dit qu’il était en manque de sommeil et l’agent lui aurait dit qu’il n’avait pas besoin de descendre car il ne savait pas se lever. La Commission des plaintes estime que, bien que le plaignant avait rendez-vous chez le dentiste le matin du 24 février 2021, ses explications ne sont pas suffisantes pour justifier son absence l’après-midi. Il reconnait lui-même qu’il était en retard pour le départ vers le jardin. Quant à son absence du 1er mars, le plaignant n’a pas non plus fourni d’explications suffisantes pour justifier le fait qu’il ne s’était pas rendu au travail. Enfin, quant à la journée du 25 février 2021, la Commission constate que l’agent du jardin a suffisamment justifié le manque de productivité du plaignant ce jour-là, en comparaison avec le travail des autres détenus.
Au vu des éléments qui précèdent, la Commission des plaintes estime que la décision contestée par le plaignant est suffisamment motivée et justifiée. La légalité de cette décision n’est pas remise en cause. Cette décision est par ailleurs prise conformément à la « Convention de mise au travail à la prison de St Hubert » signée par le plaignant le 25 février 2021 et produite par la direction, dans laquelle il est stipulé que le manque de productivité, la mauvaise qualité du travail et/ou les malfaçons peuvent entrainer le retrait d’emploi. En outre, le plaignant a lui-même indiqué durant l’audience qu’il ne souhaitait pas réintégrer cet emploi. Enfin, le plaignant peut faire une demande pour un autre emploi, il a d’ailleurs indiqué durant l’audience qu’il avait un rendez-vous fixé à cet égard au sein de l’établissement.